Le Blog de Nath

Dernièrement, Valérie du blog C'est ma fournée a publié une recette de gâteau basque . J'aime beaucoup le gâteau basque, même si je n'ai pas souvent l'occasion d'en manger. La recette semblait accessible, je me suis donc lancée. J'ai respecté toutes les quantités prescrites, en dehors du citron. La crème pâtissière n'a posé aucun problème. En revanche, la pâte m'a donné du fil à retordre: je n'avais pas les cercles aux dimensions recommandées, j'ai donc dû improviser avec un moule d'un diamètre plus grand que celui préconisé. Après les 45 minutes au frais, la pâte est obstinément restée collée au silpat, rien à voir avec ce qui est décrit dans le billet, je cite "Vous verrez que cette pâte est très facile à manipuler, et que le fonçage se fait tout seul, sans crise de nerfs"... Le fond allait à peu près, mais pour recouvrir la crème avec le 2ème disque de pâte... un carnage! J'ai quand même fini par y arriver, mais le résultat

Les dernières madeleines que j'avais faites avaient une belle bosse, mais elles manquaient cruellement de fondant et elles avaient séché très vite. En me promenant sur le blog de Valérie (C'est ma fournée), j'ai trouvé un article où elle explique que le secret du moelleux tient à l'utilisation du sucre inverti. Le sucre inverti est un mélange équimolaire de glucose et de fructose obtenu par hydrolyse du saccharose (Wikipedia). On peut en fabriquer soit même en faisant chauffer du sucre et de l'eau avec du jus de citron, mais je manquais de temps alors j'ai utilisé un sucre inverti naturel: le miel. J'ai suivi la recette en enlevant les pépites de chocolat et la fève tonka car le miel a suffisamment de goût (et accessoirement, je n'ai pas de fève tonka!). C'est très simple à réaliser, mais à ma grande déception, la bosse n'a pas poussé à la cuisson et ma première fournée de madeleines était plate. Pour la deuxième fournée, je me suis dit que j

Je n'avais plus de pains au lait pour le petit déjeuner, j'ai eu envie de tester une nouvelle recette qui paraissait alléchante. J'ai tout mis dans le robot, et pendant que le pétrissage se faisait, j'ai lu les commentaires... J'aurais mieux fait de commencer par ça! Beaucoup disaient que la pâte obtenue était très collante avec les proportions indiquées, et effectivement, c'était bien le cas. Heureusement que je ne me suis pas lancée dans cette recette avec un pétrissage à la main, ça se serait mal terminé!! La pâte a quand même bien levé, mais j'ai dû ajouter beaucoup de farine au moment du façonnage pour que tout ne me reste pas sur les mains. J'ai aussi utilisé mon moule à baguettes, il a permis d'éviter que tout ne s'étale à la seconde levée. Au final, ces pains au lait sont bien moelleux mais je n'ai pas une mie aussi filante que je l'aurais voulu. Ils seront quand même mangés avec plaisir.

Il me restait des blancs d'oeuf des macarons, mais pas suffisamment pour en refaire. Toujours sur le blog C'est ma fournée, j'ai déniché cette recette de spritz qui en utilise 30g. J'ai quand même divisé les proportions par 2 pour être sûre d'en avoir suffisamment. Une fois de plus, j'ai constaté que mon robot n'est pas adapté à des quantités aussi faibles, mais j'ai tout de même réussi à m'en sortir. Pas de difficulté particulière pour cette recette, en dehors du dressage à la poche à douille: j'ai testé 3 formes différentes, j'avoue ne pas avoir de préférence particulière. Je n'ai obtenu que 7 biscuits avec ces quantités, j'ai dû les faire trop gros! Ces biscuits sont bien sablés et fondants mais "ceux du commerce sont tout aussi bons et ça prend moins de temps à faire"... Ingrédients (pour 20 à 30 biscuits) 200g de farine type 55 175g de beurre pommade 70g de sucre glace 30g de blanc d'oeuf 1/8 de teaspoon de se

Ce week-end j’étais motivée pour me lancer dans la confection de macarons. J'avais déjà fait une tentative malheureuse il y a quelques années , mais entre temps, j'ai fait l'acquisition de mon robot! Cette fois, je suis partie sur la recette de Valérie de C'est ma fournée qui fait une meringue italienne. Pour les néophytes, une meringue italienne est faite à partir de blancs en neige qu'on monte avec un sirop de sucre à 118°C... Je n'ai pas choisi la facilité, mais comme j'ai tout le matériel, j'ai tenté. Pour une première fois, je n'ai pas mis de colorant, donc mes coques sont restées blanches. Tout ne s'est pas déroulé sans accrocs (en partie à cause de mon robot qui a bien du mal avec une si petite quantité de blanc d'oeuf...), mais j'ai néanmoins réussi à avoir une meringue présentable. Ma maîtrise de la poche à douille étant toujours aussi mauvaise, mes coques ne font pas toutes la même taille, malgré l'utilisation d'un gab

Je ne faisais quasiment plus de yaourts, mais j'ai ressorti ma yaourtière dernièrement (un jour où le frigo était presque vide sans doute!). J'utilise toujours la même recette , mais la texture n'est pas assez ferme et une croûte jaunâtre assez acide se forme sur le dessus (ce qui n'était pas le cas avant). Le week-end dernier, j'ai lu dans un article que préparer les yaourts au blender permettait justement d'obtenir des yaourts plus fermes. Or, qu'y avait-il comme accessoire avec mon nouveau robot? Un blender! Ni une ni deux, je me suis empressée de tester cette astuce. J'ai fait une première tournée avec du lait concentré sucré et quelques gouttes d'arôme vanille, le résultat était très convaincant: la croûte a disparu et la texture est crémeuse mais pas trop liquide. Deux jours plus tard, les yaourts étant finis (!), j'ai fait une deuxième tournée avec la recette classique: là encore, la texture est conforme à mes attentes. Le blender me per