Ce week-end j’étais motivée pour me lancer dans la confection de macarons. J'avais déjà fait une tentative malheureuse il y a quelques années, mais entre temps, j'ai fait l'acquisition de mon robot!
Cette fois, je suis partie sur la recette de Valérie de C'est ma fournée qui fait une meringue italienne. Pour les néophytes, une meringue italienne est faite à partir de blancs en neige qu'on monte avec un sirop de sucre à 118°C... Je n'ai pas choisi la facilité, mais comme j'ai tout le matériel, j'ai tenté. Pour une première fois, je n'ai pas mis de colorant, donc mes coques sont restées blanches. Tout ne s'est pas déroulé sans accrocs (en partie à cause de mon robot qui a bien du mal avec une si petite quantité de blanc d'oeuf...), mais j'ai néanmoins réussi à avoir une meringue présentable. Ma maîtrise de la poche à douille étant toujours aussi mauvaise, mes coques ne font pas toutes la même taille, malgré l'utilisation d'un gabarit. Mais c'est peut-être aussi lié à l'ajout de la meringue dans la pâte d'amande: j'ai dû trop "macaronner" (voir les explications dans la recette originale), la préparation était donc un peu trop liquide.
Après les 6 minutes de cuisson à 145°C (j'ai mis une grille avec un tapis de cuisson au-dessus et en dessous de la plaque de cuisson), j'ai bien observé l'apparition de la collerette (alleluia!) et j'ai dû laisser au total 15 minutes pour avoir une cuisson convenable.
Pour cette fois, nous avons garni les coques au moment de la dégustation (confiture, miel, Nutella...). Même si l'aspect laisse à désirer, au niveau du goût, c'est plutôt encourageant: le dessus de la coque est craquant et l'intérieur moelleux, c'est un bon début.
Suite au prochain épisode!
Cette fois, je suis partie sur la recette de Valérie de C'est ma fournée qui fait une meringue italienne. Pour les néophytes, une meringue italienne est faite à partir de blancs en neige qu'on monte avec un sirop de sucre à 118°C... Je n'ai pas choisi la facilité, mais comme j'ai tout le matériel, j'ai tenté. Pour une première fois, je n'ai pas mis de colorant, donc mes coques sont restées blanches. Tout ne s'est pas déroulé sans accrocs (en partie à cause de mon robot qui a bien du mal avec une si petite quantité de blanc d'oeuf...), mais j'ai néanmoins réussi à avoir une meringue présentable. Ma maîtrise de la poche à douille étant toujours aussi mauvaise, mes coques ne font pas toutes la même taille, malgré l'utilisation d'un gabarit. Mais c'est peut-être aussi lié à l'ajout de la meringue dans la pâte d'amande: j'ai dû trop "macaronner" (voir les explications dans la recette originale), la préparation était donc un peu trop liquide.
Après les 6 minutes de cuisson à 145°C (j'ai mis une grille avec un tapis de cuisson au-dessus et en dessous de la plaque de cuisson), j'ai bien observé l'apparition de la collerette (alleluia!) et j'ai dû laisser au total 15 minutes pour avoir une cuisson convenable.
Pour cette fois, nous avons garni les coques au moment de la dégustation (confiture, miel, Nutella...). Même si l'aspect laisse à désirer, au niveau du goût, c'est plutôt encourageant: le dessus de la coque est craquant et l'intérieur moelleux, c'est un bon début.
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